Convoyeur vertical et élévateur de palette : la solution idéale pour optimiser l’espace de stockage de votre entrepôt ?

Convoyeur vertical et élévateur de palette : la solution idéale pour optimiser l’espace de stockage de votre entrepôt ?

Dans le monde actuel, hautement compétitif, de la gestion d’entrepôts et de la logistique, chaque mètre carré compte. La clé du succès ? Optimiser au maximum l’espace de stockage. Pour y parvenir, des outils innovants se révèlent incontournables : les convoyeurs verticaux et les élévateurs de palettes.

Ces équipements, qui semblent tout droit sortis d’un futur industriel, offrent des avantages considérables. Imaginez pouvoir augmenter votre capacité de stockage, améliorer la productivité de votre entrepôt et, en même temps, garantir une sécurité optimale. Est-ce trop beau pour être vrai ? Pas du tout.

Nous allons examiner en détail ces technologies prometteuses. Nous vous fournirons une vue d’ensemble du convoyeur vertical et de l’élévateur de palettes, de leur fonctionnement à leur impact potentiel sur l’efficacité de votre entrepôt.

Serez-vous le prochain à faire le pas vers une optimisation efficace de votre espace de stockage ? Lisez la suite pour le découvrir.

Introduction au convoyeur vertical et à l’élévateur de palette

Définition du convoyeur vertical

Un convoyeur vertical, également connu sous le nom d’élévateur vertical, est un équipement de manutention qui permet de transporter des objets de manière verticale. Parfaitement adapté pour le déplacement de palettes ou de marchandises entre différents niveaux dans un entrepôt, il contribue à optimiser l’utilisation de l’espace vertical.

Les convoyeurs verticaux sont conçus de manière à s’adapter à différents besoins de charge. Certains peuvent transporter des charges légères, tandis que d’autres, plus robustes, sont capables de déplacer des palettes complètes. Ils se déclinent donc en plusieurs types et tailles, pour répondre aux exigences spécifiques des divers secteurs de l’industrie.

Définition de l’élévateur de palette

L’élévateur de palette, quant à lui, est un outil conçu pour lever et abaisser les palettes dans un environnement d’entrepôt. Il permet de positionner précisément les palettes à différents niveaux, maximisant ainsi l’usage de l’espace vertical. Comme les convoyeurs verticaux, les élévateurs de palettes sont cruciaux pour optimiser l’efficacité du stockage et le flux de travail dans un entrepôt.

Associés à un système de convoyeurs, les élévateurs de palettes sont souvent la solution privilégiée pour une gestion efficace et ordonnée des marchandises, facilitant leur transfert depuis le point de réception jusqu’à l’emplacement de stockage désigné.

En somme, le convoyeur vertical et l’élévateur de palette sont des composants essentiels d’un système logistique efficace, permettant une exploitation optimale de l’espace de stockage vertical disponible dans un entrepôt.

Comment les convoyeurs verticaux et les élévateurs de palettes améliorent l’efficacité du stockage ?

La gestion efficace de l’espace de stockage dans un entrepôt repose en grande partie sur l’utilisation de technologies appropriées. Parmi ces outils, les convoyeurs verticaux et les élévateurs de palettes se distinguent. 

Le rôle des convoyeurs verticaux dans l’optimisation de l’espace de stockage

Un convoyeur vertical est un système de transport qui permet de déplacer des charges d’un niveau à un autre dans un entrepôt. Son fonctionnement peut être décomposé en plusieurs étapes clés :

  • Réception de la charge : L’objet à déplacer est placé sur une plateforme ou un tapis roulant à la base du convoyeur.
  • Ascension ou descente : La plateforme ou le tapis roulant se déplace le long d’une colonne verticale, portant la charge vers le haut ou vers le bas selon les besoins.
  • Livraison de la charge : Une fois arrivé à l’étage voulu, l’objet est déplacé hors de la plateforme ou du tapis roulant et est prêt à être utilisé ou stocké.

Comment les élévateurs de palettes favorisent l’efficacité de l’entrepôt ?

L’élévateur de palettes, souvent comparé à un ascenseur pour palettes, fonctionne de manière similaire à un convoyeur vertical, mais est spécifiquement conçu pour lever et descendre des palettes de marchandises. 

Voici comment cela fonctionne :

  • Chargement de la palette : Une palette chargée est placée sur la plateforme de l’élévateur.
  • Levage ou descente de la palette : La plateforme monte ou descend le long d’une colonne guidée, transportant la palette à l’étage souhaité.
  • Déchargement de la palette : Une fois la palette arrivée à destination, elle est déchargée de la plateforme, prête pour le stockage ou le transport ultérieur.

Les bénéfices de l’utilisation de convoyeurs verticaux et d’élévateurs de palettes

Les convoyeurs verticaux et élévateurs de palettes sont plus qu’un simple ajout à votre entrepôt : ils sont une véritable transformation du fonctionnement de votre opération. 

Ils offrent de multiples bénéfices, notamment en matière d’espace de stockage, de productivité et de sécurité.

Augmentation de l’espace de stockage

Dans l’univers compétitif de la gestion d’entrepôt, l’espace est un bien précieux. L’intégration de convoyeurs verticaux et d’élévateurs de palettes peut être une stratégie payante pour les entreprises cherchant à maximiser leur espace de stockage. 

En tirant parti de l’espace vertical, ces systèmes permettent :

Une utilisation plus efficiente de l’espace disponible, ce qui augmente la capacité de stockage.

Le transport vertical des palettes, minimisant l’empreinte au sol nécessaire pour le mouvement des marchandises.

L’optimisation de l’espace dans les entrepôts urbains où l’espace au sol est souvent limité et coûteux.

Amélioration de la productivité

Au-delà de l’optimisation de l’espace, les convoyeurs verticaux et les élévateurs de palettes peuvent aussi booster la productivité de votre entrepôt. 

Grâce à leur rapidité et leur efficacité, ils permettent :

Un déplacement rapide des palettes entre différents niveaux de l’entrepôt.

Une réduction des temps d’attente et une accélération du processus de manutention.

Une diminution des erreurs humaines grâce à l’automatisation, garantissant ainsi la précision des opérations de stockage et de manutention.

Assurer la sécurité dans l’entrepôt

Enfin, la sécurité est un enjeu crucial dans tout entrepôt. L’installation de convoyeurs verticaux et d’élévateurs de palettes peut contribuer à minimiser les risques en :

Automatisant le transport des marchandises entre différents niveaux, réduisant les interactions humaines potentiellement dangereuses.

Intégrant des dispositifs de sécurité, tels que des barrières de protection et des systèmes d’arrêt d’urgence.

En somme, l’adoption de convoyeurs verticaux et d’élévateurs de palettes peut transformer votre entrepôt en optimisant l’utilisation de l’espace, en boostant la productivité, et en renforçant la sécurité. Un investissement qui peut porter ses fruits sur le long terme.

Choix et mise en place de convoyeurs verticaux et d’élévateurs de palettes

Investir dans des systèmes tels que les convoyeurs verticaux et les élévateurs de palettes demande une réflexion approfondie. Ces équipements ne sont pas seulement des achats, mais des investissements stratégiques qui peuvent transformer la manière dont vous gérez votre espace de stockage.

Comment choisir le bon équipement pour votre entrepôt ?

Le choix de l’équipement qui convient à votre entrepôt dépend en grande partie des spécificités de votre opération. Il faut tenir compte de plusieurs aspects :

  • Type de marchandises : Les convoyeurs verticaux et les élévateurs de palettes sont conçus pour transporter une grande variété de marchandises. Cependant, leur capacité à manipuler efficacement ces marchandises peut varier en fonction de leur taille, poids et forme.
  • Espace disponible : L’espace dans votre entrepôt détermine en grande partie si un convoyeur vertical ou un élévateur de palettes conviendra le mieux.
  • Efficient énergétique : L’efficacité énergétique est un facteur important à considérer lors du choix de ces systèmes. La recherche du meilleur rapport qualité-prix ne devrait pas négliger cet aspect.
  • Scalabilité : Comme pour tout investissement d’entreprise, la capacité à s’adapter à la croissance future est cruciale. Des systèmes modulaires, capables d’être étendus ou modifiés, sont souvent les plus bénéfiques à long terme.

Étapes pour l’installation des convoyeurs verticaux et des élévateurs de palettes

Une fois que vous avez choisi le bon équipement pour votre entrepôt, la prochaine étape est l’installation. Voici les étapes générales à suivre :

  • Analyse de l’espace : Avant l’installation, il est crucial d’analyser l’espace pour déterminer où et comment les systèmes seront placés.
  • Planification de l’installation : Une planification détaillée est essentielle pour assurer une installation réussie et sans heurts.
  • Installation par des experts : Pour garantir une installation sécurisée et correcte, il est préférable de faire appel à des professionnels.
  • Formation du personnel : Une fois le système installé, une formation adéquate du personnel est nécessaire pour garantir une utilisation efficace et sécurisée du nouvel équipement.
  • Maintenance : Un entretien régulier est essentiel pour garantir le bon fonctionnement et la durée de vie des convoyeurs verticaux et des élévateurs de palettes.

Choisir le bon équipement pour votre entrepôt et le mettre en place de manière efficace peut être un processus complexe. Cependant, en tenant compte des facteurs clés lors du choix de l’équipement et en suivant les étapes d’installation, vous pouvez optimiser votre espace de stockage et améliorer l’efficacité de votre entrepôt.

Optimisez votre espace de stockage avec les convoyeurs verticaux et les élévateurs de palettes

La gestion efficace de l’espace de stockage est un défi constant pour les entreprises de logistique et de distribution. Les convoyeurs verticaux et les élévateurs de palettes offrent une solution prometteuse pour optimiser cet espace. En choisissant l’équipement qui convient le mieux à votre opération et en assurant une installation correcte, vous pouvez transformer votre entrepôt, augmenter votre capacité de stockage et améliorer l’efficacité de vos opérations.

Chez MTK Solutions, nous avons l’expertise pour vous accompagner dans cette transition. Notre équipe d’experts est là pour vous aider à déterminer le meilleur équipement pour votre entrepôt et à assurer une installation fiable et sécurisée.

Vous êtes prêt à faire passer votre entrepôt au niveau supérieur ? N’hésitez pas à nous contacter pour discuter de la manière dont nous pouvons vous aider à optimiser votre espace de stockage. Avec MTKSA, l’avenir de votre logistique est à portée de main.

Du bon usage d’un élévateur de palettes automatisé

Du bon usage d’un élévateur de palettes automatisé

Utiliser un élévateur de palettes est une chose, l’automatiser en est une autre. En effet, l’utilisation se fait différemment et les enjeux ne sont pas les mêmes. En revanche, ce qui est certain, c’est que l’automatisation fera gagner en sécurité et en temps.

De quoi parle-t-on ?

D’abord, l’élévateur de palettes est là pour assurer les déplacements verticaux (on parlera de convoyeurs), d’assurer la charge/décharge des camions ou encore lors de l’opération d’emballage ou d’apport de la marchandise à l’opérateur. En bref, comme son nom l’indique, il va élever les palettes/marchandises à plusieurs mètres du sol.

Automatiser pour optimiser

On ne se leurre pas : plus votre entrepôt gère de flux, plus il doit s’automatiser afin d’assurer des flux continus H24/7J. Les élévateurs manuels serviront dans de petits entrepôts ou sur de petites chaînes de production. En revanche, avec la demande digitale exponentielle, les systèmes automatisés ont une place de plus en plus prépondérante dans les entrepôts.

Un système : plusieurs missions

Un système de manutention peut servir à plusieurs chaînes logistiques tout comme il peut évoluer avec votre entreprise ou vos besoins, voire vos développements.

La table élévatrice

Tout est dans son nom, une fois encore. C’est une plateforme pouvant se lever et s’abaisser à la hauteur souhaitée. Cette table peut se composer d’une emprise de sol ou alors sur roulettes, de ciseaux pour le levage et la descente de la table et de la plateforme où se pose la marchandise.

La table est alimentée par un groupe hydraulique ou électrohydraulique qui va actionner les vérins reliés aux ciseaux. La table peut être commandée par une boîte boutons ou alors avec une pédale. Ses avantages sont indiscutables : stabilité de la plateforme, hauteur réglable, adaptable (gamme d’accessoires et convoyeurs pour accompagner le système, intégration dans un système de manutention plus vaste) et mobile (grâce à des socles sur roues ou un châssis). Sa capacité d’élévation est impressionnante puisqu’elle peut même être installée dans une fosse ou avec des ciseaux multiples. Enfin, la maintenance sur ce système est minime bien que nécessaire et obligatoire.

En entrée ou en intégration de système

En entrée de circuit, la table servira à charger les palettes à hauteur du système intralogistique ou alors à un poste d’inspection. En intégration, elle va compenser les différences de niveaux entre les convoyeurs de l’entrepôt ou encore pour lever la marchandise à la hauteur de l’opérateur afin d’en faciliter la manipulation pour assurer sa sécurité comme sa bonne santé.

Le convoyeur vertical

Communément appelé élévateur automatique de palettes, il s’intègre dans un système plus large pour déplacer les charges sur une hauteur de plusieurs mètres comme une mezzanine. La hauteur maximale étant de 40 mètres, cela vous donne tout loisir d’avoir plusieurs niveaux de stockage ! Il se gère donc dans un système plus large de convoyeurs grâce à des logiciels WCS et WMS. L’automatisation gère donc l’ensemble de la supply chain : de l’arrivée de la palette jusqu’au choix de son emplacement de stockage.

Le must

Le convoyeur vertical optimise les flux marchandises et la productivité, par conséquent. Avec une vitesse de croisière d’1 m/sec et supportant les basses températures (pour les entrepôts frigorifiques), il s’accompagne d’un système de sécurité avec des clôtures de protection.

On voit grand chez MTKSA

L’intégralité d’un système de transitique, l’intralogistique d’un entrepôt, tout se réfléchit en amont. La communication entre le client et le prestataire est essentielle afin de comprendre les enjeux, les besoins et les attentes. 

Chez MTKSA, on étudie votre projet et on analyse vos données de logistique puis on se fait force de proposition. L’automatisation d’un entrepôt est incontournable aujourd’hui et si l’investissement initial est conséquent, le ROI se fait dans les 3 ans. Il ne faut donc pas hésiter : cet investissement est important, mais vous le récupérez avec la réduction des déplacements, avec la préservation de la santé de vos collaborateurs et vous réduisez les erreurs grâce à la gestion par WMS.

 

Et si on en parlait ? 😉

De la bonne conduite d’un chariot élévateur

De la bonne conduite d’un chariot élévateur

Vous êtes équipés d’un chariot élévateur, c’est bien. Cependant, avez-vous pris toutes les précautions concernant la sécurité de vos collaborateurs, de la manutention et de vos installations ?

Regardons ça de plus près.

Pas de permis, pas de fifi !

Parmi les chariots élévateurs, il existe ceux à conducteur accompagnant et ceux à conducteur porté. La première distinction entre ces deux modes, c’est l’habilitation à les piloter. Eh oui, la conduite d’un chariot élévateur à conducteur porté nécessite un permis spécifique ! En effet, en accompagnant, le chariot est davantage un engin tandis qu’en porté, il s’agit plutôt d’un véhicule. Et qui dit véhicule, dit permis. D’ailleurs, c’est plutôt une certification : le Certificat d’Aptitude à la Conduite en Sécurité qui existe en 6 types.

  • CACES 1 : pour les transpalettes et engins de préparation de commande avec levée de moins de 1m.
  • CACES 2 : chariots portant 6 tonnes max sur plateau.
  • CACES 3 : chariots soulevant une charge maximale de 6 tonnes.
  • CACES 4 : chariots avec une capacité de levage supérieure à 6 tonnes.
  • CACES 5 : chariots à mât rétractable
  • CACES 6 : chariots hors production

La formation dure 3 jours (théorie, pratique, tests & évaluation), il est possible d’en passer plusieurs simultanément. L’employeur peut le financer pour ses salariés, d’autant que ça peut être une réelle valeur ajoutée pour son entreprise, autant qu’une montée en compétences de ses collaborateurs. Toutefois, cette certification est nominative et personnelle. Aussi, le cariste peut l’utiliser dans n’importe quelle entreprise !

Conduite & sécurité

Comme son nom l’indique, le CACES est une certification de conduite en sécurité. Il est donc temps de faire le point, tant au niveau de l’engin que du conducteur.

Côté machine

Si ce sont des règles de bon sens, il est essentiel cependant de les rappeler.

Tout engin a des caractéristiques techniques que vous devez connaître :

  • capacité de charge
  • capacité de levage
  • sa batterie ou son carburant
  • sa vitesse

Ces caractéristiques ne sont pas exhaustives et elles dépendent bien sûr de la machine. L’opérateur/cariste doit donc les connaître afin d’adapter sa conduite, de savoir ce qu’il peut faire ou non.

De fait, l’opérateur a l’obligation de signaler toute anomalie sur l’engin à son supérieur ou au responsable du parc à sa prise de poste ou quand il finit. Cela peut aller de la fuite d’eau à la perte d’huile, une direction difficile, etc. Ceci afin d’assurer la sécurité des autres caristes mais aussi de votre matériel. De même, on vérifie le fonctionnement des commandes, des freins et des avertisseurs sonores/lumineux.

La recharge des batteries d’un engin de manutention exige de prendre aussi des précautions avec un EPI (équipement de protection individuelle). Une zone de charge est prévue à cet effet, ventilée et avec une tension électrique suffisante par exemple.

Côté opérateur

Le cariste a la certification, il connaît donc les points qui vont être abordés. En revanche, s’il s’agit d’un chariot à conducteur accompagnant, pas besoin de CACES mais les règles sont les mêmes.

Tout d’abord, comme en voiture, on s’attache (et pas toute la sainte journée) et même sur de courts trajets ! La loi oblige les fabricants à installer un système de retenue sur leurs machines, que ce soit une ceinture ou une sangle par exemple. Le risque de renversement n’est pas anodin : l’habitacle sécurisé et le système de retenue évitent au cariste l’écrasement ou le sectionnement (malheureusement, oui, ça arrive).

A l’instar de la ceinture de sécurité, on pense à régler son siège. Les postes de conduite sont désormais adaptables : siège et volant peuvent se régler en avant, en arrière, en profondeur, en hauteur… Ce n’est pas la macarena, mais votre cariste travaillera dans de bonnes conditions, sa fatiguera moins et les risques de TMS seront réduits !

Les rétroviseurs ne servent pas à une marche arrière : ils sont là avant tout pour les charges volumineuses ! Ils ne sont qu’une aide aux manœuvres, pas votre seul champ de vision. On ne circule pas avec les fourches en hauteur et surtout, on ne tourne pas les roues en pente ou sur une rampe ! Braquer les roues augmente les risques de basculement.

Les installations & les marchandises

De fait, il y a aussi des précautions à prendre dans les locaux où vont circuler les machines pour limiter les risques. Si on sait que le zéro défaut n’existe pas, on peut y tendre avec les bons outils.

Côté marchandises

Nous répétons que chaque engin a des caractéristiques propres. Aussi, il peut être fatal pour le cariste de se conforter dans ses habitudes avec une seule machine. Car le chariot doit être adapté à la charge : n’oubliez pas de vérifier la plaque de charge !

Ensuite, on soulève/incline/gerbe la charge et pour cela, aussi, il y a des règles à respecter : on soulève la charge à la verticale jusqu’à ce qu’elle ne touche plus le sol. On l’incline ensuite vers l’arrière et on vérifie qu’elle n’accroche pas de charge avoisinante ou autre. Pour soulever ou abaisser la fourche, on arrête le chariot et on met le frein. On ne recule qu’une fois la fourche libérée.

En pente, la charge est toujours dans le sens de la pente : en montant, on est en marche avant et en descente, on est en marche arrière.

Dans tous les cas, on s’assure que la palette est correctement gerbée, on vérifie comment bien insérer la fourche de l’engin sous la palette et surtout, que les capacités de charge et de levage sont adaptées à la marchandise !

Côté entrepôt

Votre entrepôt doit naturellement être adapté à la circulation des engins de manutention que vous aurez acquis. Mais les accidents sont vite arrivés. Il existe de nombreuses solutions de sécurité tant pour le matériel que pour les hommes. La première règle est la signalisation ! On ne lésine pas sur la signalétique, avec des limites de vitesses, des axes de circulation définis, etc. Votre entrepôt est une micro ville !

En outre, il est important d’équiper votre entrepôt de protections passives, type barrières. Protéger vos racks/rayonnages avec des barrières supplémentaires. Imaginez qu’un engin tape un pied de rack lors d’une manœuvre : le rayonnage tout entier sera fragilisé et le risque d’effondrement multiplié. On signale donc les zones à risques et les obstacles.

MTKSA, votre garde-fou

Vous l’aurez compris : quel que soit le point de vue, la sécurité prime. Aussi, MTKSA vous accompagne et vous conseille. Nos équipes vous apportent leur expertise sur chaque point après analyse de votre besoin, de vos locaux et de votre matériel.

 

Parlons-en !

Les différents systèmes de manutention de palettes

Les différents systèmes de manutention de palettes

Dans une société de consommation passant de plus en plus par les achats en ligne et les magasins virtuels, le besoin d’entrepôt de stockage des marchandises est prégnant. De fait, bien qu’on n’ait plus de place au sol pour s’agrandir, il est possible de le faire de manière verticale à condition d’accompagner cet agrandissement de systèmes de manutention et de transitique adaptés.

Facilité & optimisation

Un système de manutention seul est inutile. En effet, il est pensé pour et par l’entrepôt. Il s’agit donc de prévoir le lieu de stockage et de le voir afin de réfléchir à la solution idéale.

Les bénéfices sont importants : gain d’espace, sécurité des personnes et des marchandises, gain des ressources, productivité et fluidité accrues. Il faut donc réfléchir à la solution comme partie intégrante d’un corps. L’entrepôt est le corps, le système sera les artères et les veines, l’informatique et vos équipes seront le cerveau ! Tout doit être en accord pour que l’ensemble vive.

Terre à terre

Les systèmes transitiques commencent par la manutention au sol. Pour cela, vous avez plusieurs possibilités : convoyeurs à rouleaux ou à chaînes, les tables élévatrices ou tournantes, les navettes, les transstockeurs et transpalettes, miniloads…

Au sol, la zone de réception est l’un des endroits phares où l’on peut installer une table élévatrice, voire des engins de levage. A l’instar de la zone d’expédition que l’on peut équiper sur le même principe. Entre ces deux étapes, la préparation de commandes peut être automatisée, surtout qu’il s’agit d’une étape chronophage. La machine pourra envoyer la commande directement à l’opérateur en goods-to-man, après une commande vocale ou en pick-up to light. L’emballage lui aussi mérite d’être robotisé. Ainsi, toutes les tâches à faible valeur ajoutée et nécessitant jusque-là des moyens humains seront gérées de manière automatisée.

On prend de la hauteur

Évidemment, pour gagner de la place afin de stocker, vous élevez votre entrepôt. Dès lors, la manutention verticale s’effectue grâce à des élévateurs. Il s’agit de la zone à privilégier lorsque vous entamez votre réflexion d’automatisation et d’optimisation de votre chaîne logistique. La manutention représente 40% du temps de vos opérateurs. 

En automatisant, on agrandit l’espace en hauteur et on réduit les allées… De sorte que les transstockeurs puissent circuler tout de même !

Des outils à la portée de tous

Comme on l’a dit à plusieurs reprises, c’est l’entrepôt qui définit la ligne de manutention à installer. Toutefois, il y a des critères incontournables à analyser et des règles à respecter.

Des normes & des hommes

Qui dit manutention dit pénibilité du travail. Aujourd’hui, vous décidez d’automatiser non seulement pour gagner en performance, mais aussi (et surtout) pour alléger les tâches de vos collaborateurs. Pour améliorer leur qualité de vie au travail comme pour réduire les risques d’erreur, l’intralogistique automatisée est votre meilleur atout.

Votre cahier des charges sera donc rigoureux et devra répondre aux normes européennes. Pour vous aider, vous pouvez vous appuyer sur les règles listées par l’Institut National de recherche et de sécurité.

N’oubliez pas qu’on ne stocke pas des produits frais comme des articles électroménagers. Les normes s’appliquent différemment et par conséquent, vos rayonnages comme vos systèmes transitiques devront y répondre.

En termes humains, vous avez une obligation de sécurité de vos salariés. Aussi, vous les formez et les équipez du nécessaire à remplir leurs missions sereinement mais vos machines et vos structures sont tout autant sécurisées.

Enfin, toujours en termes de sécurité, vous avez aussi des responsabilités quant à l’entretien et au bon fonctionnement de vos outils.

Maintenance & prévoyance

Parce que vous automatisez votre entrepôt, ne vous reposez pas sur vos lauriers. Vous allez former vos équipes à la surveillance et au “petit” entretien de vos machines. Ils pourront ainsi vous alerter en cas de dysfonctionnement ou de panne.

Toutefois, votre cahier des charges doit prendre en compte la maintenance. Cette étape ne doit pas être un parent pauvre. Entretenir ses machines, c’est s’assurer qu’elles durent plus longtemps. C’est s’assurer d’intervenir avant qu’elle ne tombe en panne et vous fasse perdre de l’argent, de la productivité. Il est donc nécessaire de les entretenir à intervalles réguliers par des spécialistes. 

A l’instar de cette maintenance, il est possible d’envisager la rénovation de vos systèmes lorsqu’ils ne répondent plus à vos besoins. Les techniciens de maintenance seront alors vos premiers interlocuteurs pour envisager une amélioration des systèmes afin qu’ils répondent plus efficacement à des attentes grandissantes. 

L’accompagnement @MTKSA

Vous trouvez que ça fait beaucoup ? Non, pas tant que ça si vous êtes bien accompagné !

MTKSA est là pour assumer ce rôle.

De l’étude à la conception jusqu’à la maintenance, nos collaborateurs mettent leur expertise à votre service depuis une décennie.

Nous vous conseillons dans votre réflexion et apportons notre expertise à chaque étape, nous vous proposons une solution sur mesure, adaptée à vos besoins et à votre production afin d’améliorer vos performances et assurer la sécurité de vos équipes.

Nous nous positionnons ainsi sur :

  • la compréhension des besoins via des audits, une analyse in situ, les marges de manœuvre et la définition des besoins, etc.
  • la conception : faisabilité, conception des solutions, analyses des risques et analyse fonctionnelle, budgets, etc.
  • la réalisation : organisation et planification des phases chantier, le suivi, le montage et la mise au point, etc.
  • la sélection des solutions : rédaction du cahier des charges, analyse des offres, aide à la décision, calcul du ROI, etc.
  • l’assistance : formation, assistance utilisateurs, hotline, maintenance…etc.

 

On en parle ?

De la manutention des palettes

De la manutention des palettes

Monte-charges, ascenseur, élévateur… Les engins de levage et de manutention sont nombreux dans le secteur. Tout comme il existe différents types de palettes, les engins ont leurs spécificités et une utilisation définie. Faisons le point.

Palettes ou ne palettes, telle est la question

Créés en 1940, les palettes sont aujourd’hui un élément logistique indispensable pour stocker ou transporter les marchandises. On considère qu’il y a un demi-milliard de palettes en circulation par jour dans le monde !

Ses fonctions & caractéristiques

On ne se le fait plus dire, la palette sert à rassembler le plus de marchandises possible sur un espace restreint et unique. Elle évite de déposer les marchandises au sol et permet une facilité de transport grâce à des engins de manutention. Enfin, pour la gestion, il est plus facile de compter les palettes que les articles !

La palette est faite d’un plateau (pour le port de charge), les semelles, la traverse, les claires voies et les dés.

Il existe des palettes à simple plancher, à double plancher réversible ou non, à plancher inférieur périmétrique, à ailes. De même, il y a des palettes en bois, en contreplaqué, en carton, en plastique, en métal… Le choix du matériau dépendra de son usage en étudiant ses caractéristiques techniques :

  • Bois, la plus utilisée : antidérapante, adaptée à tous les besoins
  • Contreplaqué : faible taux d’absorption de l’humidité, grande solidité, grande charge statique pour le stockage en rack ou empilée mais pas à long terme
  • Plastique : légère, solide et forte capacité de charge, antidérapante et stable à la charge, elle est facilement manipulable et sert à l’exportation
  • Carton : pratique, économique, écologique, légère, gerbable
  • Métal : pour un usage intensif, robuste, plateau plein ou ajouré et d’une grande longévité.

Les formes standards

Les dimensions ne sont pas soumises à réglementation mais l’augmentation de leur utilisation a fait naître certains standards.

La palette EURO (ou EPAL) peut supporter une charge dynamique maximale d’1,4 tonne pour une dimension de 1200×800 mm, elle convient à la multi-rotation. Elle est autant réutilisable que réparable.

L’EPAL existe en demi-palette qui, comme son nom l’indique, est divisée en deux sur la longueur. Facilement manoeuvrable grâce à un poids de moins de 10 kg pour 800×600 mm, elle a les mêmes avantages que sa grande sœur et peut être utilisée dans le commerce de détail.

Une fois encore, l’EPAL existe aussi en quart de palette ! Il s’agit du plus petit format avec 600×400 mm pour moins de 7,5 kg. Elle est emboîtable et peut être directement utilisée dans le rayonnage des produits en distribution.

Il existe aussi la palette américaine (ou ISO, universelle). Un peu plus grande que l’EPAL avec 1200×1000 mm, elle est utilisée aux USA, au Japon et au Canada mais pas en Europe car elle ne convient pas aux camions.

Enfin, la palette chimique (CP) sert à l’industrie chimique. Les standards CP mentionnent la qualité du matériau de la palette, ses dimensions, marquages et réparabilité.

Quelle solution de manutention choisir ?

Suivant le besoin ainsi que la marchandise, l’engin de manutention et/ou de levage sera différent. Petit tour d’horizon (en transpalette !).

Le monte-charge palettes

Contrairement à son nom, le monte-charge est un élévateur ! Et en tant que tel, sa mission est de transporter vos marchandises verticalement. Il s’agit donc de transfert de charges vertical dans un même entrepôt. Il intervient dans le transport de marchandises dans un réseau, entre plusieurs niveaux.

L’élévateur permet de soulever la marchandise plus haut qu’un transpalette. Il optimise les flux de marchandises entre les zones de stockage, de chargement et de déchargement. Sa forme la plus aboutie sera le convoyeur vertical.

Le monte-palettes existe en version manuelle et en version automatisée, le choix dépend de vos flux. On ne le dira jamais assez : des flux importants doivent être optimisés par l’automatisation des magasins/entrepôts. 

Au niveau des caractéristiques techniques, un élévateur peut supporter jusqu’à 2 tonnes par palette, tenir une cadence de 120 palettes/heure et atteindre les 40 mètres. Parce qu’il s’intègre aisément dans une chaîne automatisée, il peut s’accompagner d’une table hydraulique par exemple, ou d’autres solutions de convoyages. C’est un connecteur de niveaux et fluidifie les circuits de marchandises. Entre sa sécurité garantie et son adaptabilité, il est un élément clé de votre supply chain.

1 entrepôt = 1 solution

Effectivement, le choix de la solution automatisée dépend avant tout de votre besoin et de l’aménagement de votre entrepôt. Afin d’optimiser l’espace de stockage, vous vous agrandissez en hauteur mais non en largeur. Par conséquent, la création de niveaux supplémentaires (mezzanines, plateformes, etc.) à  l’intérieur même de l’entrepôt est idéale.  Toutefois, pour desservir ces nouveaux espaces, il faut évidemment une solution adaptée. 

L’élévateur de palettes intervient dans cette réflexion : simple et rapide opérationnel, il s’intègre parfaitement et en toute sécurité dans vos lignes de production et de stockage.

Cette solution peut être mise en place à la création ou lors du réaménagement des entrepôts.

L’élévateur à colonnes est le plus courant, pour des flux ascendants et descendants. Il transporte les palettes d’un niveau à un autre, s’intégrant dans un réseau de convoyeurs ou non.

MTKSA est là !

Entreprise française, MTKSA est spécialisée dans la conception, la fabrication et l’intégration de systèmes de manutention. 

Nos collaborateurs vous accompagnent dans votre étude d’aménagement et adaptent leurs solutions à vos besoins et vos espaces. 

Les systèmes de manutention et de transitique proposés par notre société vont optimiser votre productivité, améliorer la sécurité de vos équipes et automatiser les flux de marchandises.

 

Parlons-en !

Des palettes & des machines

Des palettes & des machines

Née dans les années 1940 aux Etats-Unis, la palette est un incontournable de la chaîne logistique pour le stockage et le transport des marchandises à travers le monde. A l’heure actuelle, environ un demi-milliard de palettes circulent chaque jour et existent aussi bien en dimensions standardisées qu’en sur-mesure.

Vous avez dit palette ?

Revenons d’abord sur les fonctions, caractéristiques et dimensions des palettes. 

Kesako ?

Une palette est faite d’un plateau (porte la charge), d’une traverse (planche horizontale assemblant les dés), de semelles (où sont placés les dés), de claires voies (espaces vides entre les planches) et de dés ou plots (cubes de bois entre semelle et plancher). Les dés sont essentiels pour supporter le plancher et avoir des encoches nécessaires au passage des fourches. Cet objet de manutention a plusieurs fonctions :

  • rassembler le plus de marchandises sur un seul support
  • réduire les dommages au sol et pour les marchandises lors de la manutention
  • transporter les marchandises à l’aide de machines
  • gérer le stocks aisément
  • optimiser le stockage

Quelles différences entre les palettes ?

Bien qu’aucune loi française ne réglemente leurs dimensions, les palettes sont aujourd’hui standardisées pour être utilisées dans le monde entier et surtout, réutilisables. Elles se sont démocratisées et différents formats labellisés sont actuellement sur le marché.

La palette EUROPE ou EPAL fait 1200 x 800 mm pour 140-145 mm de hauteur et un poids maximal de 30 kg. Résistante, la charge dynamique maximale supportée est de 1400 kg. Convenant pour une multi rotation, elle est réparable et réutilisable.

La demi-palette EUROPE a une longueur divisée de moitié : 800 x 600 mm pour un poids de 10 kg. Cette palette multi rotation est facilement manœuvrable et est utilisée pour le commerce de détail. Le quart de palette suit le même principe avec des dimensions restreintes de 600 x 400 mm pour moins de 7,5 kg. Emboîtable, elle peut être utilisée directement en distribution et dans le rayonnage des produits.

La palette américaine ou ISO est universelle. Pour des dimensions de 1200 x 1000 mm, elle possède 4 entrées et est faite de traverses à 3 chevrons et 2 découpes pour le passage des fourches. Utilisée aux USA, au Canada et au Japon, elle ne peut l’être en Europe car ne convient pas aux camions.

La palette chimique ou CP sert dans l’industrie chimique. Il existe des standards pour la CP correspondant à la qualité du matériau pour sa fabrication, ses dimensions, le marquage et les possibilités de réparation.

Comment choisir ?

La palettisation a plusieurs avantages mais le plus important, outre la protection des marchandises et la réduction des coûts de transport, est l’optimisation du flux logistique. Selon vos besoins correspondra un type de palette. En plus des dimensions, il faut prendre en compte son matériau de fabrication (bois, contreplaqué, bois pressé, plastique), son poids, son stockage et son utilisation. En effet, il n’y a pas de palette universelle. A chaque besoin correspond une palette : les produits à conditionner, la charge, la sensibilité, le stockage… De plus, bien qu’il n’y ait pas de lois concernant les palettes, elles sont soumises à des réglementations et des normes, notamment d’hygiène ou 

Dans tous les cas, le rôle des palettes n’est plus à démontrer : empilables, elles font économiser de la surface au sol et engendrent des gains de productivité. Enfin, elles représentent entre 5 à 7% du budget logistique d’une entreprise, soit 8 à 20% du CA global.

La manutention des palettes

Et à chaque palette correspond un engin de manutention ! Les palettes sont conçues pour être manipulées par un chariot élévateur, un miniload ou autre système de port de charge et de décharge adapté. Sous le plateau des palettes, on trouvera deux ou quatre entrées pour y insérer les fourches des chariots.

De la simple manipulation à la lourde charge

De fait, il existe nombre de systèmes de manipulation des palettes. On trouvera naturellement le transpalette électrique jusqu’aux systèmes transitiques pour le déplacement des charges lourdes dans un entrepôt en passant par les élévateurs de marchandises ou encore les transtockeurs.

En fonction du besoin et du type de marchandise ainsi que son stockage, il s’agit d’étudier la solution qui vous convient le mieux.