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L’explosion du e-commerce oblige les entreprises à repenser leur organisation logistique. C’est là qu’intervient l’intralogistique, puisqu’il s’agit de la gestion des marchandises au sein d’un espace déterminé : entrepôt, usine, plateforme… Les systèmes venant au secours de l’Homme sont nombreux et à différents niveaux.
Il ne faut pas se leurrer, l’intralogistique se vit au quotidien dans les TPE-PME comme dans les grands groupes.
Sans intralogistique, les problèmes s’accumuleraient en interne : pas de visibilité des stocks, pas de traçabilité, des ralentissements voire des arrêts complets, des délais non respectés… En clair, la stratégie de l’entreprise serait mise à mal. Les processus de logistique interne comprennent par conséquent tant la gestion des flux d’informations que celle des produits et visent à les optimiser. En combinant les bons processus, les bonnes solutions d’équipements, d’informations et de main-d’oeuvre, elle devient un important levier de croissance pour l’entreprise.
Certes, elle est omniprésente dans les grands groupes tels qu’Amazon mais les TPE ne sont pas en reste. Dès l’instant où elles mettent en place des engins modernes ou un logiciel de gestion, elles entrent dans l’intralogistique.
Considérée comme un investissement négligeable à tort, l’intralogistique est pourtant le premier levier de croissance et de performance de l’entreprise. En misant davantage sur les autres services plutôt que sur l’intralogistique, c’est ignorer que cette dernière englobe en réalité toutes les équipes : opérateurs, administratifs, managers, etc.
L’intralogistique répond à tous les objectifs de performance : RSE, qualité de vie au travail, visibilité, omnicanal, productivité, économies et rentabilité… De fait, les solutions à mettre en place doivent travailler de concert, mais aussi être prises en main par toutes les parties prenantes de l’entreprise. L’automatisation de l’entrepôt passe par un bon accompagnement au changement et il ne faut pas hésiter à investir sur des solutions qui vont booster la productivité comme les performances.
Une entreprise a besoin d’être toujours plus performante. Pour cela, l’intralogistique est un excellent facteur de réussite.
Est-il nécessaire de les revoir ? Bon d’accord, mais vite !
L’intralogistique est l’optimisation des processus de gestion interne d’un entrepôt. Elle va agir de manière globale à tous les niveaux, avec plus ou moins d’implication et surtout, une digitalisation des tâches. Ainsi, l’entrepôt peut se digitaliser peu ou à 100%. Pourquoi ?
En tant que chef d’entreprise et gestionnaire d’entrepôts ou de plateformes logistiques, ces points paraissent couler de source. L’intralogistique vise à :
En bref, gagner en efficience !
La transformation de cette gestion globale de la supply chain améliore donc l’agilité des flux. Elle va permettre d’anticiper les pics d’activité, d’éviter les ruptures de stocks ou encore les erreurs. Sans compter qu’elle va améliorer le travail des opérateurs en leur retirant les tâches répétitives ou pénibles.
On peut trouver trois grandes catégories d’apports de performance.
Les décideurs gagnent en réactivité grâce aux remontées en temps réel des données d’exploitation. Il est désormais possible d’analyser les données et les performances de l’entrepôt de façon immédiate et d’adapter en conséquence dans un délai réduit. Les décideurs peuvent anticiper la conduite à tenir en fonction des données.
Avec la bonne interface, l’utilisateur accède aux informations et peut les comprendre, les utiliser de manière compréhensible pour tous dans l’entreprise. Ainsi, même si on ne s’équipe que d’un logiciel intelligent, cela peut permettre de mieux comprendre le fonctionnement et les performances de l’entrepôt. Un WMS permet de piloter et surveiller les flux de données et de marchandises dans la supply chain. Grâce à un logiciel adapté, l’entreprise acquiert une vision globale de sa productivité et de la gestion de ses flux internes.
Cette analyse des flux en temps réel apporte une meilleure coordination entre les départements de l’entreprise. Cette dernière sera en mesure d’adapter ses tâches en fonction de l’analyse des données pour gagner en efficacité.
L’intralogistique comprend aussi la robotique au sein de l’entrepôt, mais les données sont primordiales. Le bon WMS va piloter et adapter l’automatisation de l’entrepôt en fonction de l’analyse qu’il aura fait des données.
L’intralogistique, on vous le serine, est le chef d’orchestre. Le WMS, les flux physiques et informationnels, les engins automatisés, les services, etc. sont les musiciens de l’orchestre. Une bonne coordination devient une symphonie douce à vos oreilles.
Chez MTKSA, on ne se prend pas pour Beethoven, mais on est là pour vous apporter le papier à musique et les instruments nécessaires à dévoiler une musique harmonieuse.
On en parle ?
L’intralogistique est l’ensemble des flux internes à un espace (entrepôt, local, plateforme, etc.). De fait, elle consiste donc à comprendre l’ensemble des flux internes et plus particulièrement dans l’entrepôt.
Aujourd’hui, quel est le visage de cette logistique interne ?
Il s’agit d’une série d’actions devant optimiser les flux internes de l’entrepôt, de la réception à l’expédition. Elle doit optimiser l’organisation des flux physiques et de données. Elle comprend donc les installations dans leur ensemble : les logiciels, les AGV, les WMS, les engins, la gestion des stocks…
L’intralogistique, aujourd’hui, comprend le management, l’intégration, l’optimisation et l’automatisation des flux d’informations, des flux physiques et de la circulation des marchandises.
Sa mission est de fluidifier les processus, de réduire les coûts et les contraintes.
Tout ! En vérité, l’intralogistique est intimement liée à l’automatisation des processus. Elle veille, dans le but d’optimiser les processus, à réduire les erreurs, gérer le stock en temps réel ou encore réduire la pénibilité du travail. Comme dit précédemment, l’intralogistique veille à fluidifier les processus et réduire les coûts. Pour cela, il faut des outils adaptés et pouvant gérer plusieurs tâches en même temps à des cadences souvent élevées.
Les dirigeants ont pris conscience que les performances de l’entreprise passaient par l’intralogistique : optimiser la supply chain, réduire les délais et les coûts.
Bien que cela semble une tâche pénible, elle est extrêmement rentable à long terme.
Il faut analyser les processus, identifier les freins afin de répondre réellement aux besoins et aux points d’amélioration fixés.
Tous les services de l’entreprise doivent participer à cette optimisation. Pour ce faire, le service informatique d’abord, puis la direction financière et les ressources humaines vont travailler en transversalité afin de fixer les objectifs d’amélioration des flux internes.
L’automatisation des process va entraîner des changements au sein des équipes. Par conséquent, il faut savoir être patient et à l’écoute. Le changement doit être accompagné et communiqué collectivement
Certes, l’entreprise se digitalise. Mais à quoi bon si cela n’est pas utile à l’extérieur ? Il faut donc penser à une interopérabilité des organisations. Ainsi, les marchandises auront un format standard par exemple, les solutions choisies pourront communiquer avec celles des partenaires…
Il existe donc plusieurs solutions qui dépendent d’abord des besoins de l’entreprise et de ses locaux ainsi que des objectifs de performance.
Aujourd’hui, les spécialistes de l’intralogistique globale se sont adaptés à la demande, tout comme les entreprises se sont adaptées à leurs clients. Tout le monde suit le rythme, contraint ou non. En choisissant d’anticiper cette évolution, les fournisseurs de solutions sont en mesure d’accompagner avec sérénité leurs clients grâce à leurs systèmes de plus en plus innovants.
On peut dire que ce serait la solution la plus simple sans avoir à se munir d’un robot. Ce système intervient dans la préparation de commandes, le stockage, le tri… Un voyant lumineux signifie à l’opérateur où est le produit à récupérer. Ce système fait appel à des technologies plutôt simples : modules, rubans, pointeurs LED. Sans parler d’automatisation, ce système accroît la cadence de travail et optimise les ventes.
Evidemment, les robots sont les nouveaux collaborateurs des entrepôts. Ils sont là pour réduire la pénibilité, les risques d’accidents tout en travaillant à des fréquences soutenues voire en continu. Aujourd’hui, il existe des robots capables de se déplacer sans guidage ni attache, de transporter des étagères entières ou encore de gérer seuls des entrepôts connectés.
La logistique interne, au-delà de l’automatisation, exige une coordination des équipes. Mais les avantages sont nombreux :
A vos côtés, MTKSA accompagne les entreprises dans leur désir d’automatisation car les dirigeants le savent : la robotisation est incontournable aujourd’hui. Mais il ne faut pas non plus s’inquiéter : la maintenance préventive est déjà de l’industrie 4.0 ! De même, une machine ou une installation récente a déjà les éléments requis.
De fait, MTKSA est là pour vous épauler dans votre évolution !
On en parle ?
MTKSA est une entreprise française spécialisée dans la conception, la fabrication et l’intégration de systèmes mécaniques et/ou automatisés dans la manutention et le stockage.
Forte de 10 ans d’expérience et de 63 projets aboutis, l’entreprise propose aussi une offre d’étude et de conseil pour vos attentes et atteindre vos objectifs.
Issu d’un parcours classique, Guillaume bascule sur un bac professionnel. Il est entré dans le monde du travail par l’intérim mais ça ne lui convenait pas. Il a rencontré Guillaume (USAL) dans une autre entreprise où il procédait à de la maintenance de voie ferrée, de containers ou de balast… Il trouvait cela très intéressant et a évolué. De simple mécanicien, il a occupé les postes d’usinage, de tourneur fraiseur. Il est monté en compétences pour finir en électricité machines, avec suivi, et montage jusqu’aux essais et à la réception par les clients.
Dans cette ancienne entreprise, je n’avais pas de possibilité d’évolution financière. Je suis tombé sur société de conception de machines spéciales pour fabrication tissage, enduction et contrôle. J’en suis parti en 2015 pour rejoindre une entreprise de conception injection plastique avec retrofit de presse à injecter. J’ai alors été approché par MTKSA. Je trouvais cela monotone au départ. J’avais peur de m’ennuyer mais après quelques entretiens avec Hervé, j’ai rejoint son équipe en 2016.
Je m’occupe de la maintenance. Je suis monteur, je mets au point pour MTKSA. Je prends les projets une fois l’étude terminée. Je récupère les pièces, fais le montage, les tests, le débugage en collaboration avec notre bureau d’études. Une fois tout pré-monté dans nos ateliers, je vais chez le client pour le montage final avec une équipe et le contrôle qualité.
Je récupère les plans de Guillaume via SolidWorks. Je ne suis pas concepteur, je consulte et je reprends les cotes puis je fais mes rapports sur Office.
Je n’ai pas de préférence. J’aime toutefois manipuler la pièce neuve et aurais plutôt tendance à apprécier la conception, par conséquent.
Le projet de la Madeleine était important pour nous. On a su relever tous les défis et problématiques avec une vraie cohérence et une véritable cohésion. C’est pour ça que je me sens bien depuis mes débuts chez MTKSA.
La problématique sur les délais est récurrente. Et même si on les tient, on a parfois des surprises car l’environnement final n’est parfois pas suffisamment précisé. Mais j’aime résoudre les soucis !
La communication est cependant le point noir dans les projets. C’est une difficulté inhérente à toutes les entreprises. Je déteste ne pas avoir les informations en temps voulu, ce qui oblige à composer, à s’adapter.
Je résous toute problématique de production. J’apporte une solution créative à certains blocages. Si une conception n’est pas adaptée au besoin, je vais réfléchir à une alternative pour résoudre un problème non détecté en amont.
Si MTKSA va bien, on va bien aussi.
On est une petite entreprise conviviale, il n’y a pas de barrière hiérarchique et cela permet une vraie communication. Je n’ai jamais connu de société où l’on était autant en phase entre collègues. J’ai la conviction que l’on va tous dans la même direction : vers le bien-être de MTKSA. Le tri se fait naturellement.
MTKSA est une entreprise française spécialisée dans la conception, la fabrication et l’intégration de systèmes mécaniques et/ou automatisés dans la manutention et le stockage.
Forte de 10 ans d’expérience et de 63 projets aboutis, l’entreprise propose aussi une offre d’étude et de conseil pour vos attentes et atteindre vos objectifs.
JB, de son surnom, est ingénieur de formation en alternance, possède un DUT génie mécanique et sort d’une école d’ingénieur. Il a passé 6 ans dans deux entreprises différentes avant d’embarquer dans l’aventure MTKSA comme chef de projet.
Son arrivée s’est faite pour le repas de Noël : trop top !
Je suis chef de projet technique avec une spécialisation en mécanique. Je supplée Stéphane et Hervé sur la gestion des projets clients et fais le lien entre le bureau d’étude, la direction et le client.
A la validation d’un projet, je valide le projet et suis les projets qui durent entre 6 et 12 mois.
J’utilise PMI et SolidWorks pour le dessin. Au quotidien, mon outil va dépendre du stade d’avancement du projet. D’abord, il y a beaucoup de conception. Ensuite viendra le choix des solutions techniques, puis celui du suivi et de la gestion des chantiers.
Je préfère la conception ! Il est bien plus intéressant de relever le défi de la page blanche. Partir de zéro permet d’avoir les mains libres pour construire un projet cohérent.
Justin Bridou !
J’ai travaillé avec une équipe hors du commun. Mené de A à Z, c’était mon premier projet et a été une réussite.
Les problèmes d’approvisionnement et de délais dûs au contexte global actuels sont des problématiques récurrentes.
Nous apportons des solutions pour faciliter les flux et réduire la pénibilité des techniciens et opérateurs.
Le jour de l’entretien, il fallait avoir de l’humour pour être embauché !
JB se rappelle de son entretien avec le sourire. Il en a apprécié la transparence et a vite ressenti l’ambiance dans laquelle il allait évoluer.
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