Du sur-mesure en intralogistique !

Du sur-mesure en intralogistique !

L’essor du e-commerce oblige les entreprises à adapter leurs locaux de stockage. Que ce soit une PME ou une grande entreprise, le besoin est là : vous devez augmenter votre surface de stockage et l’optimiser. A contrario, votre boutique physique peut ne pas avoir à s’agrandir et c’est compréhensible : le web permet l’achat de partout, tout le temps.

Soyez flex !

En France, un produit sur 6 est acheté en ligne. Ce qui signifie que toutes les entreprises sont concernées. 

Agir à son niveau

On connaît les géants du secteur, ces plateformes où l’on trouve de tout. à côté de cela, les PME qui ont leur propre site voient aussi les demandes affluer. Pour cause, les clients recherchent de plus en plus de proximité, de local, d’humain et ce, même en passant par l’achat en ligne ou en click & collect. 

Ce qui signifie donc que même les petits magasins doivent se doter d’entrepôts à proximité et non pas à l’autre bout de la planète ! Quid des magasins de bricolage, par exemple, qui sont localisés dans Paris mais qui ne peuvent avoir tous leurs produits au sein même de leur bâtiment ? Il y a donc des entrepôts déportés, parfois les entreprises se regroupent dans un même entrepôt !

A chaque entreprise, sa solution

De fait, s’il est une bonne chose – bien que nécessaire – d’automatiser son stockage, il convient de choisir la solution adaptée à son besoin. Chaque entreprise à des spécificités dépendant généralement de son secteur d’activité, mais aussi de ses produits ou encore de son budget. Ce sont autant de facteurs qui définissent l’intralogistique de chaque entrepôt. Mais pour que cette logistique soit efficace et annonce un ROI sur court ou moyen terme, il est essentiel de savoir de quoi on a réellement besoin. 

La data en support

L’analyse des données va identifier les tendances, les flux logistiques de l’entrepôt et de la supply chain. Ces données, lorsqu’elles sont bien traitées, vont optimiser le travail et permettre d’avoir un visuel des machines, des pics d’activité intense et les anticiper : maintenance prédictive, période de promotions ou de fêtes, etc. Ces mêmes données seront utiles pour améliorer les performances en ajustant la transitique au fur et à mesure. Un WMS permettra donc de rationaliser l’organisation de l’entrepôt, d’augmenter la productivité et d’optimiser les flux.

Tous comptes faits…

…il est forcément essentiel d’automatiser son entrepôt. Ce n’est pas la première ni la dernière fois qu’on le dit.

Répondre à la demande

Le nombre de références a doublé voire triplé dans les produits en ligne. L’e-commerce a été contraint de répondre aux besoins toujours plus nombreux des clients qui, depuis la crise sanitaire, commandent en ligne. De plus, ces mêmes clients souhaitent une livraison de plus en plus rapide. Dans le cadre d’une stratégie omnicanale, le client doit pouvoir commander, payer en ligne ou récupérer en magasin. Ce sont donc différents flux qui doivent s’organiser dans un même entrepôt.

Or, pour gérer au mieux ces flux et réduire au maximum les erreurs, il faut automatiser. Et il faut automatiser de manière intelligente.

Les solutions

Il existe plusieurs niveaux d’automatisation logistique :

  • Le WMS va fusionner les données, créer des rapports de performance et des prévisions de la supply chain pour gérer l’entrepôt dans son intégralité et à tous ses échelons.
  • La mécanisation : avec des systèmes de picking et de stockage automatisés par convoyeurs, sans intervention humaine. On trouvera aussi des machines pour assurer la préparation des commandes. Des VGA pourront quant à eux récupérer et faire transiter les marchandises.
  • L’intelligence artificielle en soutien : les lecteurs optiques pour identifier les produits, leur localisation et leur destination, ou encore les lunettes intelligentes qui vont afficher toutes les informations d’une commande sur les lunettes de l’opérateur.

Le niveau d’automatisation va dépendre du secteur d’activité, des besoins et des capacités d’investissement de l’entreprise. Il dépend aussi des flux. Il est donc vital d’étudier et d’analyser ces flux pour réaliser une automatisation au plus près du besoin client.

Et l’humain dans tout ça ?

Automatiser ne signifie pas privilégier les robots aux opérateurs. Cela tient davantage de la transformation des méthodes de travail. Les équipes vont pouvoir se recentrer sur leur véritable activité, sur des tâches à plus forte valeur ajoutée. Ils vont pouvoir effectuer une montée en compétences.

Car oui, automatiser signifie qu’il y a des opérateurs pour maintenir la productivité. De fait, les opérateurs vont diversifier leurs savoir-faire : pour assurer la maintenance régulière et quotidienne des machines, pour interpréter les données et ajuster le travail des machines, pour savoir les utiliser bien évidemment.

Et MTKSA dans tout ça ?

Notre entreprise et son bureau d’études sont là pour vous accompagner et assurer un lien entre toutes les parties prenantes. En effet, quid des quais de chargement/déchargement ? A quels types de transporteurs avez-vous à faire ? Quelles sont vos cadences ? Quel est votre budget et les capacités de vos équipes ? Quels sont vos emballages et vos missions ?

Afin de répondre à toutes ces questions, nous sommes là pour vous éclairer et vous conseiller au mieux.

Après étude de vos besoins, nous pourrons vous proposer des solutions qui seront à tester pour être au plus près de vos attentes.

Parlons-en 🙂

Automatisation de la logistique industrielle : le sur-mesure pour répondre à l’essor du ecommerce !

Automatisation de la logistique industrielle : le sur-mesure pour répondre à l’essor du ecommerce !

Du sur-mesure en intralogistique !

L’essor du e-commerce oblige les entreprises à adapter leurs locaux de stockage. Que ce soit une PME ou une grande entreprise, le besoin est là : vous devez augmenter votre surface de stockage et l’optimiser. A contrario, votre boutique physique peut ne pas avoir à s’agrandir et c’est compréhensible : le web permet l’achat de partout, tout le temps.

Soyez flex !

En France, un produit sur 6 est acheté en ligne. Ce qui signifie que toutes les entreprises sont concernées. 

Agir à son niveau

On connaît les géants du secteur, ces plateformes où l’on trouve de tout. à côté de cela, les PME qui ont leur propre site voient aussi les demandes affluer. Pour cause, les clients recherchent de plus en plus de proximité, de local, d’humain et ce, même en passant par l’achat en ligne ou en click & collect. 

Ce qui signifie donc que même les petits magasins doivent se doter d’entrepôts à proximité et non pas à l’autre bout de la planète ! Quid des magasins de bricolage, par exemple, qui sont localisés dans Paris mais qui ne peuvent avoir tous leurs produits au sein même de leur bâtiment ? Il y a donc des entrepôts déportés, parfois les entreprises se regroupent dans un même entrepôt !

A chaque entreprise, sa solution

De fait, s’il est une bonne chose – bien que nécessaire – d’automatiser son stockage, il convient de choisir la solution adaptée à son besoin. Chaque entreprise à des spécificités dépendant généralement de son secteur d’activité, mais aussi de ses produits ou encore de son budget. Ce sont autant de facteurs qui définissent l’intralogistique de chaque entrepôt. Mais pour que cette logistique soit efficace et annonce un ROI sur court ou moyen terme, il est essentiel de savoir de quoi on a réellement besoin. 

La data en support

L’analyse des données va identifier les tendances, les flux logistiques de l’entrepôt et de la supply chain. Ces données, lorsqu’elles sont bien traitées, vont optimiser le travail et permettre d’avoir un visuel des machines, des pics d’activité intense et les anticiper : maintenance prédictive, période de promotions ou de fêtes, etc. Ces mêmes données seront utiles pour améliorer les performances en ajustant la transitique au fur et à mesure. Un WMS permettra donc de rationaliser l’organisation de l’entrepôt, d’augmenter la productivité et d’optimiser les flux.

Tous comptes faits…

…il est forcément essentiel d’automatiser son entrepôt. Ce n’est pas la première ni la dernière fois qu’on le dit.

Répondre à la demande

Le nombre de références a doublé voire triplé dans les produits en ligne. L’e-commerce a été contraint de répondre aux besoins toujours plus nombreux des clients qui, depuis la crise sanitaire, commandent en ligne. De plus, ces mêmes clients souhaitent une livraison de plus en plus rapide. Dans le cadre d’une stratégie omnicanale, le client doit pouvoir commander, payer en ligne ou récupérer en magasin. Ce sont donc différents flux qui doivent s’organiser dans un même entrepôt.

Or, pour gérer au mieux ces flux et réduire au maximum les erreurs, il faut automatiser. Et il faut automatiser de manière intelligente.

Les solutions

Il existe plusieurs niveaux d’automatisation logistique :

  • Le WMS va fusionner les données, créer des rapports de performance et des prévisions de la supply chain pour gérer l’entrepôt dans son intégralité et à tous ses échelons.
  • La mécanisation : avec des systèmes de picking et de stockage automatisés par convoyeurs, sans intervention humaine. On trouvera aussi des machines pour assurer la préparation des commandes. Des VGA pourront quant à eux récupérer et faire transiter les marchandises.
  • L’intelligence artificielle en soutien : les lecteurs optiques pour identifier les produits, leur localisation et leur destination, ou encore les lunettes intelligentes qui vont afficher toutes les informations d’une commande sur les lunettes de l’opérateur.

Le niveau d’automatisation va dépendre du secteur d’activité, des besoins et des capacités d’investissement de l’entreprise. Il dépend aussi des flux. Il est donc vital d’étudier et d’analyser ces flux pour réaliser une automatisation au plus près du besoin client.

Et l’humain dans tout ça ?

Automatiser ne signifie pas privilégier les robots aux opérateurs. Cela tient davantage de la transformation des méthodes de travail. Les équipes vont pouvoir se recentrer sur leur véritable activité, sur des tâches à plus forte valeur ajoutée. Ils vont pouvoir effectuer une montée en compétences.

Car oui, automatiser signifie qu’il y a des opérateurs pour maintenir la productivité. De fait, les opérateurs vont diversifier leurs savoir-faire : pour assurer la maintenance régulière et quotidienne des machines, pour interpréter les données et ajuster le travail des machines, pour savoir les utiliser bien évidemment.

Et MTKSA dans tout ça ?

Notre entreprise et son bureau d’études sont là pour vous accompagner et assurer un lien entre toutes les parties prenantes. En effet, quid des quais de chargement/déchargement ? A quels types de transporteurs avez-vous à faire ? Quelles sont vos cadences ? Quel est votre budget et les capacités de vos équipes ? Quels sont vos emballages et vos missions ?

Afin de répondre à toutes ces questions, nous sommes là pour vous éclairer et vous conseiller au mieux.

Après étude de vos besoins, nous pourrons vous proposer des solutions qui seront à tester pour être au plus près de vos attentes.

Parlons-en 🙂

 

Revamping : le bon partenaire pour se moderniser

Revamping : le bon partenaire pour se moderniser

Le revamping est aujourd’hui une nécessité pour l’industrie et les machines. Mais qu’est-ce que cela signifie et comment le mettre en œuvre ? Et plus important encore, avec qui ?

Faisons le point

Avant toute modernisation, il s’agit de de réaliser une étude préalable de la flotte de machines en votre possession et ce qu’il est nécessaire d’opérer comme transformation.

Rivankoi ?

Le revamping (ou rewamping) est une pratique de plus en plus courante de réparation d’un appareil en fin de vie. La finalité est de ne pas le remplacer mais de l’améliorer, de le faire évoluer en remplaçant les éléments usés ou encore en le modifiant pour répondre aux nouveaux besoins du processus de production, ou enfin de mettre la machine aux normes.

Appelé aussi rétrofit, c’est donc un ensemble d’actions ayant pour but d’accroître les performances machines et production, de les adapter à de nouvelles exigences techniques.

Pourquoi ?

Pour votre propre bénéfice ! En effet, le process est économique car on remplace juste des pièces et non la machine entière. De plus, il est beaucoup plus rapide de réaliser ces petites modifications. Il s’agit de ne remplacer que des pièces sur une machine existante, ce qui réduit le temps d’arrêt de la production.

Il s’agit aussi de répondre aux attentes écologiques et environnementales de notre société, de répondre aux normes et à la RSE, en pérennisant l’installation.

Moderniser uniquement le nécessaire sur une machine réduit le ROI de manière considérable tout en conservant la machine qui a encore de belles années devant elle, à condition d’opérer lorsqu’il le faut. De plus, migrer vers des éléments plus modernes offre les dernières fonctionnalités et augmente les performances de l’équipement. Il s’agit aussi de faciliter la prise en main par les opérateurs et augmenter leur efficacité.

Le revamping est donc gage d’une meilleure ergonomie, de performances améliorées ou encore d’une adaptation à cette modernisation par les opérateurs bien moindre qu’un changement intégral de l’équipement.

Et sinon ?

A votre avis ? Plus on retarde les investissements de modernisation et plus on augmente les pertes et performances. Le pire qui puisse arriver serait par ailleurs un arrêt total de la production.

La première raison d’une telle intervention est de mettre les machines en conformité avec les normes et réglementations en constante évolution notamment dans certains secteurs tels que l’aéronautique ou l’agroalimentaire où elles sont d’autant plus exigeantes. Or, opter pour de nouvelles machines représente un investissement conséquent alors qu’une simple mise à niveau de l’existant répondrait tant à ces nouvelles règles normatives comme à des économies pour l’entreprise. 

Tout équipement a une durée de vie de plusieurs dizaines d’années avec les évolutions technologiques affairées. En revanche, les éléments de la machine ont une durée de vie limitée à moins de dix ans. La machine dans son ensemble est soumise à une obsolescence

programmée. Elle peut donc tomber en panne si son suivi n’est pas correct et le remplacement des éléments non anticipé.

Le vieillissement des machines les rend moins performantes au cours des années : précision, répétition, qualité, taux de rebut ou cadences… Autant de facteurs de productivité qui sont vite limités au cours du temps.

Vous êtes prêts !

Donc finalement, le revamping se réfléchit dès l’investissement initial dans votre équipement. Puisque vous avez à cœur d’être aussi performant que résistant dans la durée, vos machines doivent l’être tout autant.

Par conséquent, le prestataire/fabricant que vous aurez choisi pour vous accompagner dans votre industrialisation doit vous proposer un contrat de maintenance mais aussi cette solution de revamping. Votre partenaire sera le plus à même de répondre à ces évolutions machines, puisque c’est lui qui vous les a fournies ou fabriquées.

Il n’y a donc pas lieu d’hésiter à le consulter.

Il vous conseillera dans cette modernisation et saura étudier avec vous les solutions adaptées à vos besoins ou vos propres évolutions de production.

MTKSA est donc là pour vous accompagner dans votre démarche, de sa conception à sa pérennisation !

 

Guide pratique : 5 questions à se poser pour bien débuter son projet intralogistique

Guide pratique : 5 questions à se poser pour bien débuter son projet intralogistique

Le bureau d’étude en automatisme et robotisation industrielle est là pour accompagner la réflexion et la construction d’un projet. Depuis l’évaluation du besoin jusqu’à la conception des systèmes automatisés de vos entrepôts, le bureau d’étude répond à tout type de projet et réflexion intralogistique.

Pourquoi un tel projet ?

Selon les personnes, les motivations à engager un projet intralogistique peuvent être très différentes. Mais lorsqu’il s’agit d’entreprendre, la raison veut que l’on s’attache à la vision stratégique et aux résultats que l’on veut obtenir. Lors d’un premier entretien avec un futur client, le projet nous est souvent présenté à travers la solution technique imaginée. A chacune de ces discussions, nous avons questionné les raisons de ce choix. S’il est de nombreux cas où le client a fait un choix éclairé et pertinent, il est tout aussi fréquent qu’après un diagnostic, la conclusion sera très différente de la solution envisagée. 

Un projet d’équipement s’inscrit dans un schéma directeur, un ensemble de moyens qui permettront à l’entreprise d’atteindre les objectifs qu’elle s’est fixée. Si nous avions une règle à proposer, elle serait de « toujours repartir du besoin », plus qu’une règle c’est un commandement. 

Quel intérêt à poser un diagnostic ?

Parce qu’il n’y a pas de bonne solution qui ne repose sur un état des lieux précis, il est indispensable de faire le bilan de la situation existante. Et si le projet concerne la réalisation d’une nouvelle unité logistique ou de production, il est important d’observer ce qui se fait déjà dans l’entreprise. Comment les opérations sont-elles réalisées ? Quels sont les motifs de satisfaction ou les plaintes des utilisateurs ? Quelles sont les performances ? Quel est le contexte immobilier, financier, humain… 

Qu’en pensent les utilisateurs ?

Parlons des femmes et des hommes qui auront à transformer ce projet en un outil industriel performant. Il est trop souvent d’usage de les interroger lorsque la livraison des machines approche et qu’il faut les informer de ce qui les attend et préparer les formations. Dommage, car ce sont eux qui connaissent le mieux les produits fabriqués et manutentionnés ; opérateurs sur ligne de production, manutentionnaires, régleurs, préparateurs de commandes, etc. Ils sont une source précieuse d’information et surtout ils possèdent le savoir-faire informel qui permet à l’organisation de bien fonctionner. 

De plus, les interroger au plus tôt permet d’évaluer leur appréhension ou au contraire leur intérêt pour une technologie nouvelle. Il devient ainsi possible de les préparer au changement dès le lancement du projet.

Quelle est la culture d’entreprise ?

Intéressons-nous à la culture de votre entreprise. Il faut en connaître le type d’organisation, les technologies connues et maîtrisées, la présence ou non d’un service technique et/ou maintenance. La pratique des activités gérées en mode projet. Les réponses à ces questions seront à prendre en considération lorsqu’il faudra concevoir des solutions adaptées à leur environnement.

Sur qui compter ?

A l’heure de programmer la réunion de lancement du projet, il faut pouvoir compter sur une équipe qui possède non seulement les compétences nécessaires mais aussi la disponibilité pour contribuer efficacement au projet. C’est un point de vigilance important. 

Selon la taille et l’importance du sujet, il faut envisager de détacher celui ou ceux qui en seront responsables. Ou bien choisir de se faire accompagner par une ressource externe. 

En lisant cet article, nombreux seront ceux qui penseront qu’il est un rappel aux bonnes pratiques. C’est vrai, mais une méthodologie s’appuie sur des pratiques éprouvées et qu’il faut veiller à appliquer. En cela elle n’a de valeur que lorsqu’elle est formalisée, car ainsi elle peut être partagée et faire l’objet d’un suivi régulier.

 

Un cas concret ? 

Voici en quelques lignes une mise en application directe de nos 5 recommandations pour bien débuter son projet d’après notre retour d’expérience dans le secteur agroalimentaire.

Les attentes :

Le client souhaite :

  • Être rassuré sur le bien fondé de son projet (ROI, gain organisationnel…)
  • Faire arbitrer les débats au sein de l’équipe projet par un tiers
  • Être éclairé, voir le chemin qui le conduira à sa prochaine prise de décision
  • Gagner du temps

Les étapes du projet et le résultat final

Les réunions de travail vont permettre de guider le client grâce à notre expertise. Nous pourrons utiliser de la simulation et du tracé d’implantation pour avoir des données précises que le client pourra utiliser en toute confiance pour faire avancer la réflexion en challengeant les solutions proposées.

La première réunion

Cette première réunion a plusieurs objectifs. Il faut d’abord présenter rapidement MTKSA et l’équipe qui interviendra. Notre client s’appuie sur le bureau d’étude MTKSA pour :

  • Manager et guider au mieux sa réflexion
  • Conseiller grâce à l’expertise technique et organisationnelle acquise lors de précédents chantiers et études.

Il faut ensuite laisser la parole à l’équipe client. L’objectif est d’obtenir les informations suivantes :

  • Présentation de l’équipe (décideurs, techniciens, futurs utilisateurs…)
  • Présentation du contexte (lieu, date, budget…)
  • Présentation de l’objectif (les attentes, délais, nombre de réunions, critères de réussite, pourquoi ce projet ?…)
  • Présentation des données d’entrées (cadence, place au sol, organisation actuelle…) en allant voir le terrain
  • Présentation des contraintes (attention de séparer les contraintes décideurs des contraintes des autres acteurs : les contraintes décideurs sont potentiellement plus difficiles à modifier si besoin)
  • Présentation des solutions clients (les idées qu’ils envisagent, celles qu’ils refusent…)

 

MTKSA présente ensuite les technologies existantes qui peuvent être employées dans le projet.

La réunion se poursuit avec un brainstorming sur les solutions techniques. Celles envisagées par le client et celles que nous proposons.

Les solutions sont confrontées aux objectifs du projet et au contexte du client. Il en ressort des bénéfices et des contraintes que nous évaluons et hiérarchisons.

L’objectif n’est pas de choisir une solution en fin de réunion (sans pour autant nous l’interdire) mais de retenir 3 solutions au maximum que nous pourrons évaluer avec la simulation et que nous implantons dans le contexte client. La simulation et l’implantation sont réalisées par notre bureau d’étude. Le résultat de ce travail sera présenté au client lors de la réunion suivante.

Dans le cas présent, nous avons accepté d’étudier une solution soutenue par le client et à laquelle nous ne croyons pas. Nous l’avons fait cheminer jusqu’à qu’il finisse par l’écarter de lui-même.

Après la première réunion

L’équipe MTKSA trace les solutions retenues et réalise les simulations, puis les évalue au regard des critères convenus avec le client. Pour présenter les solutions, il faut les comparer entre elles selon les critères de réussite du client. La présentation doit être rapide car la réunion n’est pas facile à contrôler : chacun cherchera à commenter les solutions quand elles seront présentées : il faut tenter au maximum de les présenter toutes avant de lancer le débat.

Deuxième réunion

L’objectif de cette réunion est de présenter les solutions travaillées au client. Il doit avoir confiance dans le travail effectué : il faut donc lui expliquer la démarche utilisée, et reprendre les contraintes et critères présentés en première réunion pour montrer que ses besoins ont été entendus et compris. Entre les deux réunions, les décideurs ont pu changer d’avis sur certaines contraintes : il faut s’adapter au cours de la réunion. Idéalement, il faut sortir avec une unique solution à travailler en profondeur avec la liste des contraintes remise à jour.

Rendu final

L’objectif est de donner au client les informations dont il a besoin pour faire les choix qui feront avancer son projet. Ceci peut être un budget, un phasage, une implantation…

 

Télécharger ce guide pratique de lancement de projet intralogistique au format PDF

couv Guide pratique - Agroalimentaire - Bureau d'étude intralogistique

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Intralogistique automatisée

Intralogistique automatisée

De quoi parle-t-on ?

L’intralogistique, comme vu dans un autre article, est l’ensemble des opérations de productions et de manutentions d’une entreprise, automatiques ou manuelles. Elle concerne les flux internes sur les marchandises ou l’information. L’intralogistique est la logistique interne d’un entrepôt. L’automatiser, c’est améliorer sa gestion.

L’organisation d’action permet d’optimiser le traitement des flux, de la réception à l’expédition, afin de mieux gérer le matériel et/ou l’information. Une automatisation généralisée vient améliorer les conditions de travail des équipiers, la supply chain est idéalisée pour robotiser les tâches à faible valeur ajoutée et permettre aux équipes de se recentrer sur leurs compétences et leur cœur de métier.

 

A chaque entreprise son entrepôt

Évidemment, on ne gère pas de la même manière une chaîne de froid que de l’électroménager. Toute entreprise a une configuration propre en fonction de ses besoins, de sa surface au sol, de son secteur d’activité. Et plus l’entrepôt est grand, plus la robotisation devient indispensable.

Entrepôt frigorifique

Qui dit chaîne du froid dit températures extrêmement basses. En effet, basée sur des normes d’hygiène strictes, la gestion du froid passe par une intralogistique complexe qui demande tant de respecter ces températures basses que du matériel adapté et résistant. De surcroît, vos collaborateurs ne pourront pas y rester indéfiniment. Aussi, automatiser le stockage est la solution idéale. Ainsi, bien au chaud, les employés pourront gérer la marchandise sans risquer la rupture de la chaîne du froid.

Il ne s’agira alors d’entrer dans l’entrepôt que ponctuellement pour des questions de maintenance ou une urgence.

Entrepôt à niveaux

Les mezzanines augmentent et utilisent de manière optimale la hauteur utile d’un local en doublant ou en triplant sa surface. Elles exploitent parfaitement l’espace disponible en tirant profit de la hauteur du bâtiment, notamment si l’agrandissement au sol est impossible.Dans le cas d’un entrepôt s’étendant en hauteur avec des mezzanines, là encore, l’automatisation vient à votre aide. Que ce soient les élévateurs de palettes ou les convoyeurs verticaux, les ressources robotisés seront vos alliés et s’occuperont du port des charges.

Et la logistique interne ?

Quel impact l’automatisation aura-t-elle en interne dans votre entreprise ? Positif, bien sûr !

Surface & cadence

Quel que soit le type d’entrepôt, la cadence de l’intralogistique sera corrélée à sa surface. Plus l’entrepôt est grand et plus la manutention peut être longue. Fini les milliers de pas à faire ou les minutes voire les heures perdues à conduire pour atteindre une marchandise, la sortir et la mettre en circuit pour l’expédition. Avec l’automatisation, ce sont les transtockeurs et autres systèmes robotisés de port de charge qui feront le travail à un rythme continu. La mise en place de systèmes de charge/décharge est le meilleur moyen de renforcer l’intralogistique et d’optimiser le rendement. 

Quid des opérateurs ?

Vous l’aurez compris, l’automatisation fait sortir l’opérateur de la chaîne de manutention dure. Toutefois, c’est sa propre sécurité qui est renforcée grâce aux différents systèmes. Le port de charge, la surface à parcourir au quotidien, la probabilité des accidents, le respect des règles d’hygiène… Toutes ces problématiques trouvent leur solution grâce aux transtockeurs et élévateurs de palettes dont la robustesse n’est plus à prouver. Les faibles coûts de manutention et une meilleure qualité des conditions de travail ne peuvent qu’être bénéfiques aux opérateurs comme à l’entreprise. 

L’automatisation au service de l’amélioration

Bien que chaque secteur, chaque entreprise ait une logistique propre, il y a naturellement une solution adaptée à ses besoins. Respect de la chaîne du froid, des marchandises, des cadences mais surtout, respect de la santé des opérateurs. L’absence de l’un d’eux est aussi contraignante qu’une panne de machine.